
Ce livre se présente donc comme une très grande lettre d'amour ou Bernard Giraudeau raconte tour à tour ses voyages au brésil, au Chili, aux philippines, à Djibouti et au Cambodge ainsi que ses passages sur les planches ou il a joué dans diverses pièces telles que "L'aide-mémoire", "Le libertin", "Becket", ou encore "Richard III". Entre ses différents voyages, il tombe malade et apprend qu'il a un cancer du rein mais il n'arrête pas de jouer sur scène pour autant.
Mais à peine remis, le comédien reprend une vie à un rythme d’enfer. Il se dit qu’il doit profiter de ce supplément de vie qui lui est donné. Il s’épuise encore. Un deuxième cancer en 2005… «Je finis par rester à l’hôpital le jour pour jouer le soir avec une perfusion dans le bras ». Il devra interrompre les représentations de Richard III. La maladie va l’obliger à se poser.
Ce roman, que j'ai néanmoins trouvé admirablement écrit, m'a lassé par trop de descriptions imagées,trop de poésie et surtout trop de longueurs...