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Les cinéastes et musiciens ne sont pas les seuls à souffrir du téléchargement illégal. Plus de 40 milliards d’euros échapperaient aux créateurs de logiciels à travers le monde à cause du piratage. Et d’après une étude publiée hier par BSA, l’association mondiale des fabricants de logiciels, la France est loin d’être exemplaire. Si l’installation de programmes sans licence y a connu un léger repli en 2009, avec un taux de piratage passant de 41 à 40 %, l’Hexagone se classe très au-dessus de la moyenne européenne (35 %). «Un taux de piratage de 40 % reste pour le moins inacceptable», affirme la porte-parole de BSA, Natacha Jollet-David, qui épingle notre «mentalité un peu latine». Le manque à gagner pour la collectivité est pourtant bien réel. D’après une étude BSA/IDC réalisée en 2008, un recul de dix points en quatre ans du taux de piratage en France générerait 14 465 nouveaux emplois et 6,9 milliards d’euros de richesses.