
Le juge a annoncé "qu'en l'état actuel des chose, il est impossible d'interdire la vente des linkers en France".
Enfreignant les droits d'auteurs et de la propriété intellectuelle, cette pratique porte atteinte aux ventes de jeux DS mais les fabricants de linkers soutiennent que "les linkers permettent l'utilisation d'applications tierces légales ainsi que l'extension des fonctionnalités de la console, offrant ainsi la possibilité de lire des MP3 ou lire des DivX, et qu'ils n'ont donc rien d'illégal".
Nintendo a décidé de faire appel de cette décision...