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La nuit au musée 2


Synopsis
Le plus grand musée du monde vient d'accueillir de nouvelles expositions, et parmi elles, l'ancestrale tablette des pharaons aux pouvoirs magiques. Désormais la nuit, toutes les animations du musée prennent vie  y compris le maléfique pharaon Kahmunrah, et ses acolytes Al Capone, Ivan le Terrible et Napoléon.
Le gardien de musée Larry et ses vieux amis le Président Roosevelt, Attila, T-Rex, le Romain Octavius et Jedediah le cowboy vont devoir livrer une bataille acharnée  et délirante  contre ces animations malintentionnées.

Film de Shawn Levy avec Ben Stiler, Owen Wilson, Robin Williams, Alain Chabat, Amy Adams...

Comédie Sortie en France le 20 mai 2009



 
     
 
C'aurait dû être l'histoire d'une nuit. Mais comme d'habitude, les sirènes du succès encouragent les excès, et détruisent la beauté des coups d'éclat. Car si la première nuit avait su séduire, avec ses allures de conte de noël gentiment frappé et jamais pleurnichard, la seconde rempile avec la délicatesse toute hollywoodienne de la répétition. Plus fort, plus gros, plus cher, "cette fois, le délire n'a plus de limites !", c'est l'affiche qui le dit. En fait, il y en a quelques-unes, à commencer par le scénario. Confondante de facilité, la trame n'est qu'un prétexte à relancer une machine qui n'a même pas eu le temps de se gripper, à empiler les personnages et interventions en brouillant l'idée même d'une comédie solide. Ca part dans tous les sens, tout est multiplié et le moindre dialogue devient une performance réalisée à la vitesse de l'éclair. Aussitôt dit, aussitôt fini, les personnages secondaires ont beau s'offrir quelques moments de bravoure avec quelques tranches d'absurde propres à l'univers de Ben Stiller, chacun s'agite, prend la lumière et disparaît. Tout va bien trop vite ; un défaut malheureusement prévisible tant le casting a des allures de "supergroupe". Et Ben Stiller, si bien intégré dans son rôle de gentille frimousse "bankable" s'efface, laisse la place et traverse ce film avec la distance qu'il mérite. Face à lui, même Robin Williams en impose. On avance, on avance, et tout devient de plus en plus terne, de plus en plus prévisible et tombe dans l'écueil justement évité dans le premier volet.
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R
ça promet!!!!!
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